Madagascar, à l'honneur pour la qualité de son cacao
L’Académie Française du Chocolat et de la Confiserie a décerné, le 2 juin 2005 à Paris, son Prix annuel aux planteurs de Cacao de douze pays, dont Madagascar.
A cette occasion, fut notablement souligné par les organisateurs la qualité exceptionnelle du Cacao malgache, Madagascar, certes petit producteur, se distinguant par cette spécificité, grâce à laquelle des chocolatiers de très grande renommée tels que " Cluizel " (dont la gamme de chocolats noirs et au lait avait été élue meilleur chocolat lors du Salon International du Chocolat au Carré du Louvre à Paris en 2004) et " Valhrona " fabriquant des produits de luxe prisés dans le monde entier par les consommateurs.
Le Prix a été reçu par Monsieur l’Ambassadeur de Madagascar en France et constitue un fort encouragement pour les planteurs malgaches. La cérémonie de remise constitue une étape supplémentaire de la politique de promotion menée en France par l’Ambassade de Madagascar. A cet égard, et en prolongement, elle a encouragé la venue à Madagascar, du 12 au 23 juin 2005, d’une mission économique regroupant une vingtaine de chocolatiers français et belges organisée par l’Université du Chocolat, laquelle a pu rechercher et conclure des accords de partenariat avec les professionnels malgaches du Cacao et a pu visiter les plantations principales du pays.
On rappellera que 95% de la production du Cacao dans le monde est le fait de petits planteurs, lesquels méritent assurément une meilleure rétribution, l’attention de l’ICCO de Londres et de l’IOCCC de Bruxelles devant particulièrement être attirée à cette fin, cette donnée économique devant également s’ajouter à une nécessaire éthique commerciale et à la défense, dans ce secteur comme dans d’autres, de la notion d’économie durable. Rappelons, à cet égard, la trop grande dépendance du cours mondial du cacao aux bourses de New-York et de Londres qui conduit actuellement à ce que le planteur ne reçoit en moyenne que l’équivalent de 0,40 centimes d’Euro par kilo de cacao marchand, ce qui constitue une injustice certaine.
Tant les opérateurs que les consommateurs ont donc un intérêt commun à ce que la filière Cacao connaisse un développement durable par une action concertée.
Source : Madagascar Tribune 14/07/2005
A cette occasion, fut notablement souligné par les organisateurs la qualité exceptionnelle du Cacao malgache, Madagascar, certes petit producteur, se distinguant par cette spécificité, grâce à laquelle des chocolatiers de très grande renommée tels que " Cluizel " (dont la gamme de chocolats noirs et au lait avait été élue meilleur chocolat lors du Salon International du Chocolat au Carré du Louvre à Paris en 2004) et " Valhrona " fabriquant des produits de luxe prisés dans le monde entier par les consommateurs.
Le Prix a été reçu par Monsieur l’Ambassadeur de Madagascar en France et constitue un fort encouragement pour les planteurs malgaches. La cérémonie de remise constitue une étape supplémentaire de la politique de promotion menée en France par l’Ambassade de Madagascar. A cet égard, et en prolongement, elle a encouragé la venue à Madagascar, du 12 au 23 juin 2005, d’une mission économique regroupant une vingtaine de chocolatiers français et belges organisée par l’Université du Chocolat, laquelle a pu rechercher et conclure des accords de partenariat avec les professionnels malgaches du Cacao et a pu visiter les plantations principales du pays.
On rappellera que 95% de la production du Cacao dans le monde est le fait de petits planteurs, lesquels méritent assurément une meilleure rétribution, l’attention de l’ICCO de Londres et de l’IOCCC de Bruxelles devant particulièrement être attirée à cette fin, cette donnée économique devant également s’ajouter à une nécessaire éthique commerciale et à la défense, dans ce secteur comme dans d’autres, de la notion d’économie durable. Rappelons, à cet égard, la trop grande dépendance du cours mondial du cacao aux bourses de New-York et de Londres qui conduit actuellement à ce que le planteur ne reçoit en moyenne que l’équivalent de 0,40 centimes d’Euro par kilo de cacao marchand, ce qui constitue une injustice certaine.
Tant les opérateurs que les consommateurs ont donc un intérêt commun à ce que la filière Cacao connaisse un développement durable par une action concertée.
Source : Madagascar Tribune 14/07/2005
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